L’analyse comparative de la concurrence ou benchmarking


Le benchmarking, facteur de compétitivité

L’analyse comparative de la concurrence, également connue sous le nom de benchmarking, est une pratique essentielle pour les entreprises cherchant à rester compétitives sur le marché. Elle consiste à comparer les performances, les processus, les produits et les services de votre entreprise à ceux de vos concurrents ou à ceux des entreprises leaders de l’industrie, dans le but d’identifier des opportunités d’amélioration et de prendre des décisions éclairées. Voici un aperçu des différentes étapes d’une analyse comparative de la concurrence ou benchmarking.

 Identification des objectifs

La première étape consiste à définir clairement les objectifs de l’analyse comparative. Vous devez déterminer ce que vous souhaitez accomplir grâce à cette analyse, que ce soit l’amélioration de la qualité, l’optimisation des coûts, le développement de nouveaux produits, ou toute autre amélioration de la performance de votre société.

Sélection des concurrents

Identifiez les concurrents ou les entreprises leaders que vous souhaitez prendre comme références pour l’analyse. Il peut s’agir de concurrents directs, d’entreprises de taille similaire ou d’entreprises reconnues pour leur excellence dans le domaine que vous souhaitez analyser. Dans le cadre du e-commerce, veillez à sélectionner plusieurs sites pour disposer d’une analyse pertinente.

Collecte de données

Une fois les références sélectionnées, la collecte de données commence. Vous devez recueillir des informations pertinentes sur les performances, les processus, les produits et les services de ces entreprises. Cela peut inclure des données financières, des données opérationnelles, des informations sur les produits phares, les avis clients, les offres commerciales, les conditions de vente, l’efficacité et le référencement de leur site internet etc.

Analyse comparative, coeur du benchmarking

Cette étape consiste à comparer les données collectées entre votre entreprise et les références choisies. Vous identifierez les écarts de performance, les domaines où vous surpassez la concurrence, ainsi que les domaines où des améliorations sont nécessaires.

Identification des meilleures pratiques

À partir de l’analyse comparative, vous pouvez identifier les meilleures pratiques utilisées par les références. Cela peut inclure des méthodes de gestion, des processus efficaces, des stratégies marketing performantes, etc. Ces meilleures pratiques peuvent servir de modèles pour votre entreprise. Améliorez ce qui est défaillant chez vos concurrents et inspirez vous de ce qui est vertueux chez eux. N’entrez jamais dans une guerre des prix qui pourrait nuire gravement à votre trésorerie ! Vos prix de vente doivent toujours être fixés en fonction des spécificités et objectifs de votre société et non au seul regard de la concurrence

Mise en œuvre des améliorations

Une fois les recommandations élaborées, il est temps de les mettre en œuvre. Cela peut nécessiter des changements dans les processus, les systèmes, les formations du personnel ou d’autres domaines de l’entreprise. Il peut ici être intéressant de faire appel à un DAF externe qui vous accompagnera dans l’optimisation des process d’entreprises pour une meilleure productivité.

Suivi et évaluation

L’analyse comparative de la concurrence n’est pas une opération ponctuelle. Vous devez suivre et évaluer en continu les améliorations mises en place pour vous assurer qu’elles produisent les résultats attendus.

Répétition du processus de benchmarking

Le benchmarking n’est pas une opération unique et doit être répété régulièrement pour rester pertinent. Les conditions du marché évoluent, tout comme les meilleures pratiques. Il est donc essentiel de maintenir cette pratique dans le temps.

Communication des résultats

Enfin, assurez-vous de communiquer les résultats de l’analyse comparative aux collaborateurs de l’entreprises impliqués dans sa gestion. Cela peut encourager l’adhésion aux changements nécessaires et renforcer l’engagement des salariés

Pourquoi opter pour la digitalisation les process de recouvrement ?

La digitalisation des recouvrements de créances peut considérablement transformer (et simplifier) la gestion financière de votre entreprise. Cette évolution technologique offre en effet de nombreux avantages essentiels pour optimiser la rentabilité, la sécurité et l’efficacité des processus de recouvrement.

Tout d’abord, la digitalisation accélère le processus de recouvrement des créances impayées. Les plateformes numériques permettent aux entreprises d’automatiser l’envoi de rappels de paiement et de suivre de près les délais de paiement, réduisant ainsi les retards et améliorant la trésorerie. De plus, l’outil digital offre la possibilité de personnaliser les rappels en fonction du comportement de paiement du débiteur – établissement de profils clients pour identifier les plus « sensibles », mauvais payeurs ou débiteurs de mauvaise foi.

La digitalisation renforce également la transparence et la traçabilité. Les systèmes informatisés permettent en effet de stocker de manière sécurisée toutes les données liées aux créances, facilitant par la suite la consultation et l’analyse des informations essentielles pour la future prise de décision.

De plus, les plateformes numériques donnent l’avantage de pouvoir travailler en mode collaboratif ce qui accélère encore davantage les process de recouvrement.

Enfin, la sécurité des données est désormais primordiale comme en témoignent les préoccupations croissantes en matière de cybersécurité. Les solutions de recouvrement numérique intègrent des protocoles de sécurité avancés pour protéger les informations financières sensibles. Cela réduit les risques liés aux fraudes et aux erreurs humaines.

Le Rôle du Directeur Administratif et Financier

Le directeur administratif et financier (DAF) joue un rôle central dans le processus de digitalisation de l’entreprise et d’automatisation des recouvrements de créances. En tant que gardien des finances de l’entreprise missionné par le dirigeant  son implication est cruciale à plusieurs niveaux – MontCel Développement ayant déjà eu l’occasion d’évoquer (entre autres) le processus de digitalisation des factures.

Le DAF externe a pour mission la sélection et de la mise en place des solutions de recouvrement numériques les plus adaptées aux besoins spécifiques de l’entreprise. Il doit évaluer les options disponibles, prendre en compte les coûts et les avantages, et superviser la mise en œuvre des logiciels choisis en tenant compte de la taille de la société, de son objet et des évolutions de l’activité.

Le Directeur Administratif et Financier est également actif dans la gestion des données financières sensibles : il doit donc s’assurer que les protocoles de sécurité sont rigoureusement respectés pour protéger l’intégrité des informations financières de l’entreprise et éviter tout risque de fuite ou de vol de données.

Enfin, le DAF joue un rôle stratégique en utilisant les données recueillies grâce à la digitalisation pour optimiser les processus de recouvrement. Il peut analyser les tendances de paiement, identifier les clients à risque, et mettre en place des stratégies de recouvrement de créances plus efficaces. L’objectif à termes étant bien évidemment de réduire voire d’éliminer le risque lié aux impayés.

Rappelons également que MontCel Développement peut agir en amont par le biais d’enquêtes financières ou enquêtes de solvabilité pour évaluer le risque d’impayé sur client spécifique et de prendre les mesures adéquates le cas échéant

Le turn-over, ou taux de rotation du personnel, est un défi majeur pour de nombreuses entreprises. Un turn-over élevé peut avoir des conséquences coûteuses en termes de recrutement, de formation et de perte de productivité. Cependant, les entreprises disposent de plusieurs solutions pour lutter contre un turn-over trop élevé et maintenir un effectif stable et compétent.

Salaires et avantages, une base contre le turn-over

Proposer des salaires concurrentiels et des avantages compétitifs aux salariés est bien évidemment un levier essentiel à actionner pour retenir des effectifs qualifiés et ambitieux. Les avantages tels que la prime d’intéressement, les chèques restaurant, les chèques cadeaux, les régimes de retraite, les soins de santé, la prévoyance, les congés payés et les possibilités de formation peuvent rendre l’entreprise plus attrayante pour les employés potentiels. Ils sont également un excellent moyen de retenir les employés déjà actifs au sein de l’entreprise. Mais il est évident que de telles mesures représentent un coût important pour une société, en particulier pour une PME qui doit faire face à des charges sociales souvent trop lourdes.

Transformer les espaces de travail

La recherche d’une QVT (qualité de vie au travail) et de bien être en entreprise redéfinit aujourd’hui les espaces de bureaux, en particulier depuis la crise sanitaire. Les immeubles professionnels se veulent plus conviviaux grâce entre autres à des agencements adaptés aux nouveaux modes de travail : flex office ou smart office, desk sharing etc. ont ainsi l’avantage d’encourager la flexibilité autant que le lien social entre collaborateurs. Au sein des grandes entreprises, les salles de détente, salles de sport ou cafés connectés font leur apparition, tandis que la luminosité, le confort acoustique ou les performances énergétiques font partie des critères indissociables des espaces de travail modernes. Mais là encore, agir sur l’immobilier d’entreprise est bien souvent une solution dont disposent seulement les grandes sociétés dotées de moyens financiers conséquents.

Procéder à un recrutement sélectif 

La première étape pour réduire le turn-over est de s’assurer que les employés disposent des qualifications nécessaires au poste. Un processus de recrutement véritablement sélectif doit ainsi prendre en compte non seulement les diplômes et l’expérience, mais également évaluer les « soft skills » ainsi que la motivation d’un candidat.  Rappelons qu’un recrutement « raté » va inévitablement contribuer à l’aggravation du turnover et des coûts en entreprise : les Ressources Humaines restent donc toujours un levier essentiel pour assurer l’adéquation poste/candidat.

Accueil et intégration des candidat(e)s

L’intégration d’un nouveau collaborateur en entreprise est un élément crucial pour son succès à long terme. L’entreprise doit ainsi mettre en place un processus d’accueil structuré qui débute par une présentation du nouveau venu au personnel ou à l’équipe, créant ainsi une première impression positive. Une visite des locaux permet au nouvel employé de s’acclimater à son environnement de travail ; puis, la remise d’un livret d’accueil détaillant l’histoire, les valeurs et la vision de l’entreprise favorisera sa découverte de la culture d’entreprise

La préparation du poste de travail est essentielle –  mise en place des équipements nécessaires et connectivité notamment. En matière de formation, un programme interne adapté permet au collaborateur de maîtriser ses responsabilités plus rapidement. Des points de suivi réguliers sont importants pour prévenir les problèmes et assurer son confort dans son nouveau rôle. En bref, une intégration efficace repose sur l’introduction et la familiarisation, la compréhension de la culture d’entreprise, la formation et un suivi attentif qui garantira le succès à long terme du nouvel employé au sein de votre entreprise

Management bienveillant, un remède face au turn-over

Un environnement de travail positif au sein duquel les employés se sentent appréciés, respectés et inclus, peut contribuer à réduire le turn-over. La culture d’entreprise joue un rôle clé dans la création d’un climat de travail positif comme nous le verrons. Établir une communication ouverte entre la direction et les employés permet de résoudre les problèmes rapidement et de créer une atmosphère agréable tout en instaurant un climat de confiance. Le feedback régulier aide également les employés à comprendre leurs performances et leurs perspectives d’évolution. A cet égard, le management bienveillant gagne  du terrain en particulier au regard des nouvelles générations de salariés : cette approche de gestion se caractérise en effet par l’attention et le soutien accordés aux employés, l’empathie se mettant ici au service des relations et de la productivité des équipes.

Contrer le turn-over en favorisant la flexibilité

 La flexibilité au travail, comme la possibilité de télétravailler ou d’ajuster les horaires, peut améliorer l’équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle, ce qui peut contribuer à la rétention des employés. En 2021, 4070 accords d’entreprise relatifs au télétravail ont été signés, passant ainsi de 8% en 2017 à 21% en 2021. Une démocratisation du travail flexible qui se poursuit aujourd’hui puisqu’en 2023, on estime le pourcentage du télétravail en entreprise à 56%. Le télétravail et le travail hybride offrent une plus grande flexibilité, ce qui peut aider à fidéliser les employés en répondant à leurs besoins individuels et en renforçant leur engagement envers l’entreprise. Attention toutefois à bien identifier les postes susceptibles de basculer vers le télétravail et de doter votre entreprise des outils digitaux qui lui permettront d’évaluer les performances des télétravailleurs.

Développer une culture d’entreprise solide

L’entreprise doit régulièrement évaluer sa culture d’entreprise pour s’assurer qu’elle reste attrayante pour les employés actuels et potentiels. La création d’une culture d’entreprise robuste débute par l’articulation claire de valeurs et d’une vision, intégrant la responsabilité sociale des entreprises (RSE). Des dirigeants qui communiquent ces principes de manière constante et sincère sont essentiels. En favorisant la collaboration, la transparence et l’ouverture d’esprit, les entreprises renforcent une culture de confiance et encouragent le travail d’équipe, les activités de teambuilding étant particulièrement efficaces. Offrir des opportunités de développement professionnel et encourager l’innovation, tout en se préoccupant de la RSE, façonne une culture qui évolue avec les besoins et aspirations de ses membres, créant ainsi une base solide pour la croissance et le succès de l’entreprise à long terme.

Rotations d’effectifs : défaillance de l’entreprise ou mutation du marché ?

 Les entreprises, grands comptes ou PME, sont de plus en plus nombreuses à être affectées par des turn-over trop importants. Cette problématique peut notamment découler de défaillances « classiques » attribuables à la direction de la société :

  • manque de perspective d’avancement et d’opportunités pour les salariés
  • avantages sociaux insuffisants et mauvaises conditions de travail
  • charge de travail trop lourde affectant la vie personnelle
  • mauvaise gestion et leadership inefficaces

Bien évidemment, le départ d’un collaborateur peut aussi être motivé par des propositions venues de l’extérieur, sources de nouvelles opportunités. Mais il s’agit dans ce dernier cas d’un mécanisme garant de compétitivité des entreprises et de performance de leurs collaborateurs.

Nous assistons cependant aujourd’hui à un changement de paradigme, porté par une nouvelle génération qui transforme progressivement le monde professionnel – tertiaire plus particulièrement. Pour de nombreux jeunes actifs, l’éthique et les valeurs d’une entreprise occupent en effet une place prépondérante : l’écologie, le commerce équitable, les droits humains etc. sont pour la « gen z » des critères de plus en plus incontournables lorsqu’il s’agit de trouver un emploi. Une culture d’entreprise qui ne correspond pas aux valeurs, aux croyances ou à l’éthique d’un employé peut ainsi entraîner son départ, ou le pousser à rechercher un autre employeur.

La qualité de vie au travail (QVT) et le bien être jouent également un rôle important au sein des entreprises modernes : la qualité des espaces de travail, celle du management et plus généralement l’atmosphère qui anime la société font par conséquent partie des démarches RSE (responsabilité sociétale des entreprises) qui, lorsqu’elles font défaut, peuvent agir comme un répulsif vis-à-vis des jeunes talents.

Les conséquences du turn-over sur les RH et la performance de l’entreprise

Indicateur clé de la stabilité du personnel, le turn-over peut avoir de graves conséquences lorsqu’il est trop élevé. Tout d’abord, il peut entraîner des coûts considérables pour l’entreprise. Le processus de recrutement et de formation de nouveaux employés nécessite en effet du temps et des ressources financières qui peuvent être importantes en fonction de la taille de l’entreprise et de son activité.

Un impact sur les collaborateurs

Le départ fréquent d’employés expérimentés peut entraîner une perte de savoir, d’expérience et de compétences pouvant nuire à la qualité du travail et à la productivité globale de l’entreprise. Dans le cadre d’une activité où l’intuitu personæ est importante – pensons aux services financiers qui reposent en grande partie sur la confiance entre une entreprise et ses conseillers – le départ d’un collaborateur peut avoir un impact particulièrement néfaste.

En outre, un turn-over élevé peut avoir un impact négatif sur la moralité et la motivation des employés restants. Les collaborateurs peuvent se sentir démotivés et anxieux face à la fréquence des départs, ce qui peut affecter leur engagement envers l’entreprise. Cela peut également créer un climat de travail instable, et peu propice à la collaboration et à la créativité en raison d’une charge de travail trop importante suite à la perte d’effectif. Or comme indiqué précédemment, cette charge peut être elle-même source de nouveaux départs.

Turn-over et baisse de productivité

Les RH doivent également faire face à des défis supplémentaires en cas de turn-over élevé. Le recrutement constant de nouveaux employés peut les surcharger, tandis que la gestion des départs et des transitions peut s’avérer chronophage. Cela peut les empêcher de se concentrer sur d’autres tâches importantes, telles que le développement des compétences des employés existants et la planification stratégique des RH nécessaire à la croissance de l’entreprise.

En ce qui concerne la productivité, un turn-over important peut évidemment perturber les opérations quotidiennes de la société. Les nouveaux employés ont souvent besoin de temps pour s’adapter à leur poste et atteindre un niveau de productivité comparable à celui de leurs prédécesseurs, une période d’ajustement susceptible d’entraîner des retards et une baisse temporaire – et toujours coûteuse – de la productivité.

Pourquoi et quand procéder à une levée de fonds ?

L’opération de levée de fonds dans le cadre d’une startup exige le respect des différentes étapes évoquées dans nos précédents articles – business plan, valorisation d’entreprise, executive summary, L.OI., due diligences etc.

De par leur nature et leur objet, les startups présentent cependant quelques spécificités dont vous devrez tenir compte lors de l’élaboration de votre stratégie financière et au moment de la recherche d’investisseurs. En effet, les startups se distinguent généralement par le caractère innovant de leurs produits ou prestations, et doivent de préférence se tourner vers certains types d’investisseurs bien précis, comme nous le verrons.

Mais avant tout, les fondateurs de startups doivent savoir à quel moment procéder à une levée de fonds en fonction de la maturité de la société et de l’évolution de l’activité. En tant que fondateur/dirigeant de startup, sachez également que vous pouvez vous tourner vers des accélérateurs et incubateurs qui, en fonction de votre niveau de développement, pourront vous mettre en relation avec des décideurs et investisseurs à même de booster la croissance de votre société.

La levée de fonds en startups peut intervenir à deux moments clés :

  • la création de l’entreprise (capital amorçage)
  • la croissance de l’activité ou le lancement d’un nouveau projet (capital développement)

Dans ce dernier cas, le dirigeant d’une startup a recours à une levée de fonds pour lancer un projet à fort potentiel de croissance nécessitant des investissements pouvant être conséquents. C’est ici que la levée de fonds revêt un caractère stratégique puisque le succès de l’opération peut conditionner le développement futur (voire la survie) de la société.

Typologie des investisseurs en startup

L’objectif de la levée de fonds est crucial pour identifier les profils d’investisseurs susceptibles d’être intéressés par votre startup. La maturité de votre entreprise en particulier va conditionner l’orientation que prendra votre recherche d’²investissements, selon qu’il s’agira de lancer une activité, d’augmenter les fonds propres de la société ou de financer un nouveau projet.

L’intervention d’un Daf externalisé peut vous aider à déterminer si une levée de fonds est opportune à un instant T, et si le stade de développement de votre startup est compatible avec vos ambitions financières. Lorsque votre société est fin prête et dotée d’une stratégie clairement définie, MontCel Développement vous accompagne dans la recherche d’investisseurs intéressés en particulier par les start-ups.

 

Deux profils d’investisseurs pour votre levée de fonds : business angels et capital-risque

  • Business angels : entrepreneurs ou anciens chefs d’entreprise, les business angels peuvent généralement se prévaloir d’une solide expérience du monde des affaires doublée d’un patrimoine plus ou moins Utilisant leurs fonds propres, ils apportent leur vision et expérience du marché, un soutien financier aux startups lorsque le projet de ces dernières leur semble convaincant. Bien souvent, ces business angels dirigent leur action vers des startups actives dans des domaines porteurs tels que les nouvelles technologie, l’économie circulaire ou la transition écologique/énergétique. L’intuitu personæ joue ici un grand rôle, c’est pourquoi l’intervention d’un professionnel rompu aux levées de fonds et négociation peut vous aider à vous préparer aux entrevues qui auront lieu avec de tels investisseurs
  • venture-capitalist ou investisseur en capital-risque. Également motivés par le caractère novateur et la perspective d’une croissance rapide de la startup, ces investisseurs engagent des sommes pour le compte de leurs clients. Il s’agit donc d’investisseurs institutionnels : banques, institutions financières, sociétés d’assurance, corporate ventures, fonds nationaux – ces derniers pouvant se positionner sur des marchés précis, High-Tech, biotechs, cleantechs etc. Ces institutions doivent être agréées par l’AMF.

Si vous souhaitez entamer une levée de fonds pour lancer ou développer votre startup, faites appel à MontCel Développement : forts de leur expérience entrepreneuriale, nos collaborateurs vous guideront à travers les différentes étapes de l’opération et sauront renforcer l’impact de vos projets auprès des investisseurs.

La lettre d’intention

Également appelée Term Sheet, la L.O.I (letter of intent) est un document qui résume l’ensemble des termes et conditions relatifs aux investissement réalisés au profit de votre entreprise : par ce biais, les investisseurs font état de leurs droits et exigences qui interviendront en contrepartie des sommes versées. La levée de fonds nécessite en effet comme nous le verrons de répondre aux due diligences de vos futurs partenaires

La lettre d’intention va ainsi détailler leurs engagements et les vôtres en incluant notamment le montant de l’investissement ; les modalités d’émissions ; la valorisation retenue ; les caractéristiques des actions émises ; le mode de gouvernance envisagé etc.

La L.O.I peut avoir une valeur contractuelle obligatoire en fonction des dispositions qu’elle contient, par exemple les clauses relatives au pacte d’associés : aussi est-il capital de rédiger la lettre d’intention avec diligence en mentionnant les conditions essentielles du point de vue de votre entreprise. De plus, ce document servira par la suite de support aux négociations qui interviendront avant la finalisation de la levée de fonds.

Si comme son nom l’indique ce document fait seulement état « d’intention », la L.O.I formalise néanmoins les engagements réciproques de l’investisseur et du dirigeant d’entreprise. Il faut donc vous attendre à des négociations qui auront l’avantage de révéler le caractère et la bonne foi de vos futurs partenaires financiers.

En faisant appel aux DAF de MontCel Développement, vous bénéficierez d’une expertise juridique – complétée par l’intervention de nos partenaires avocats – autant que financière à même de protéger vos intérêts lors de la rédaction de la lettre d’intention : un atout stratégique qui contribuera au succès de votre levée de fonds et de votre activité.

 

Due diligences, négociations et closing

 Il est évident que la phase de négociation commence dès la rédaction de la L.O.I : vos investisseurs tâcheront de défendre leurs intérêts et il vous faudra bien évidemment faire de même. Dans la mesure où les rapports de forces entre investisseurs et dirigeants d’entreprise ne sont pas toujours équilibrés, l’accompagnement de MontCel Développement vient compenser cette asymétrie en vous fournissant les « armes » qui protégeront votre patrimoine tout en assurant le succès de votre stratégie financière.

Sachez que lors de l’étape des due diligences, votre entreprise et votre projets seront analysés en profondeur dans le cadre d’un audit complet :  états financiers (cash-flow, bilan, compte de résultat etc.), accords commerciaux, ressources humaines, structure juridique, assurances, analyse SWOT, etc… seront passés au crible afin de déterminer les éventuelles économies à réaliser, le potentiel de croissance de votre société, ainsi qu’à la clé « la feuille de route des 100 premiers jours ».

L’intervention d’un DAF externe vous permettra de mettre en avant la stabilité de votre activité afin de convaincre définitivement les actionnaires : MontCel Développement vous aide ici à atteindre le point d’équilibre entre les prérogatives des investisseurs et les intérêts de votre entreprise dont vous devrez maintenir la bonne gouvernance.

Nos collaborateurs restent à vos côtés au moment de la signature du pacte d’actionnaires qui définira la répartition des pouvoirs, l’évolution de l’actionnariat, et les conditions de sortie des investisseurs. Cette signature intervient au moment du closing des négociations, et c’est alors que s’achèvera la levée de fonds par le transfert des fonds sur le compte de votre entreprise.

 Ciblage des investisseurs

La réussite de votre levée de fonds requiert bien entendu une identification préalable correcte et exhaustive des investisseurs potentiels. Une étape qui déterminera la rédaction de l’executive summary abordé ci-après. En tant que dirigeant, l’objectif est pour vous tout à fait clair : assurer un démarrage rapide de votre société ou stimuler sa croissance grâce à un apport en capital. En revanche, les stratégies des investisseurs peuvent varier, bien que la rentabilité demeure le critère essentiel.

L’identification des investisseurs va ainsi dépendre bien entendu de votre entreprise – taille, nature de l’activité, ressources disponibles, objectifs fixés etc. – mais également de la stratégie d’investissement des personnes (physiques ou morales) susceptibles d’être intéressées par votre activité. Celles-ci peuvent souhaiter détenir un certain nombre de parts ou participer directement au pilotage de votre entreprise une fois l’investissement réalisé ; de votre côté, vous souhaiterez sans doute conserver la maîtrise de votre activité.

Solliciter l’accompagnement d’un professionnel peut ici apporter un atout décisif à votre projet lorsqu’il s’agit de cibler les « bons » investisseurs. L’expérience de MontCel Développement a permis à ses DAF de mener à termes des levées de fonds conformes aux attentes de leurs clients, grâce entre autres à une connaissance de la psychologie des investisseurs et des différentes stratégies observables sur le marché.

L’identification des investisseurs facilitera l’organisation puis l’accélération d’une levée de fonds sur mesure, MontCel Développement pouvant de plus s’appuyer sur des méthodes et outils efficaces complétés par un réseau professionnel de qualité.

 Executive summary : un teaser pour votre levée de fonds

Résumé opérationnel de votre projet, l’executive summary va reprendre les étapes principales de votre business plan afin de pousser les investisseurs à participer à la levée de fonds. Nous pouvons le comparer à une bande annonce visant à séduire les cinéphiles qui, après avoir visualisé le teaser, se rendront rapidement dans une salle pour voir le film complet.

L’executive summary doit donc être concis et percutant pour que ce teaser produise ses effets rapidement. Il doit notamment comprendre l’étude de marché/faisabilité, les offres de votre entreprise, les collaborateurs et leur expérience, les stratégies mises en œuvre, les performances actuelles ou encore les prévisions financières.

La rédaction de l’executive summary dépend du type d’investisseur ciblé lors de l’étape précédente : rappelons que la levée de fonds peut s’adresser à des investisseurs individuels ou institutionnels, des sociétés de capital-risque ou encore des business angels. Aussi convient-il d’adapter votre bande annonce au public ciblé !

L’executive summary va être essentiel pour répondre aux due diligences des investisseurs qui souhaiteront garantir leur retour sur investissement. Pour ce faire, ces derniers vont notamment vérifier de façon minutieuse les éléments du business plan ; considérer les prévisions et indicateurs de performance ; évaluer la rentabilité de l’investissement et bien sûr mesurer les risques inhérents au projet que vous présentez.

business plan et modèle économique

Il est capital dans le cadre d’une levée de fonds de bien définir votre projet et la stratégie qui garantira son succès. Les startups en particulier ont tout intérêt à souligner les aspects innovants de leurs produits et à être convaincants face aux investisseurs. Ces derniers vous demanderont systématiquement un business plan suffisamment détaillé qui leur permettra de déterminer si votre projet correspond à leurs critères, et à leurs impératifs de rentabilité. Le business plan constitue ainsi une feuille de route dont l’objectif est de mettre en avant le potentiel de votre projet.

Les éléments du business plan

Il doit notamment comprendre :

  • l’ensemble des solutions (technologiques ou écologiques par exemple) proposées par votre entreprise et les problématiques auxquelles elles répondent.

  • Une étude de marché et de la concurrence

  • une présentation de votre équipe et de leurs qualifications/expériences

  • une présentation de la stratégie envisagée, du modèle économique et des différentes étapes clés du projet. Afin de rassurer les investisseurs, il peut être judicieux d’intégrer une stratégie de sortie sécurisante

  • analyse chiffrée et données financières : le business plan doit évidemment déterminer le besoin de financement global et le montant des sommes envisagées à travers la levée de fonds. Cette partie du business plan doit inclure les prévisions financières sur 3 ans, comptes de résultat prévisionnel sur les douze premiers mois et sur trois à cinq ans, compte de trésorerie, plan de financement, tableaux et indicateurs de pilotage (marges commerciales et charges en particulier)

  • les barrières d’accès aux marchés : la mise sur le marché de certains produits est conditionnée en amont à leur mise en conformité aux normes en vigueur sur le territoire européen – normes sanitaires, techniques, environnementales etc. Il est indispensable dans ce cas de démontrer aux investisseurs que les porteurs du projet ont intégré le montant du financement de ces certifications et leurs délais d’obtention dans le calendrier.

La formalisation d’un business plan et l’élaboration d’un modèle économique pragmatique peuvent donc revêtir une certaine complexité, des éléments erronés ou incomplets pouvant dissuader des investisseurs qui pourraient pourtant être intéressés par votre concept. En faisant appel à MontCel développement et à ses collaborateurs, votre entreprise disposera de l’expertise indispensable à la structuration d’un business plan qui non seulement mettra en avant votre projet, mais démontrera aux investisseurs la pertinence de votre stratégie.

Levée de fonds et valorisation d’entreprise

La valorisation de l’entreprise doit permettre de déterminer la valeur de votre entreprise sur le marché et de répondre aux « due diligences » des investisseurs. Il s’agit d’une autre étape fondamentale en particulier pour les start-ups qui développent de nouveaux concepts, les investisseurs devant s’assurer que votre projet présente des garanties de rentabilité. Si vous souhaitez réussir votre levée de fonds, la valorisation va fournir – dans le cas d’une société déjà dotée d’une certaine antériorité – une analyse globale et minutieuse de votre entreprise afin d’en révéler les forces et faiblesses en termes de finance/comptabilité, fiscalité, organisation et process, gestion du risque, aspects juridiques et administratifs etc.

Les DAF externe de MontCel Développement utilisent plusieurs méthodes rigoureuses qui contribueront au succès de votre levée de fonds auprès des investisseurs et business angels. Une valorisation correcte doit insister sur la cohérence de votre projet tout en anticipant le futur cash-flow généré par l’activité. Outre les procédures « traditionnelles », ( valorisation patrimoniale,   valorisation fondée sur les performances historiques ou sur le chiffre d’affaires, Discounted Cash-Flow), MontCel Développement accompagne également les entreprises en cours de création ainsi que les start-ups innovantes.

Pour ces jeunes sociétés qui ne bénéficient pas encore de la visibilité propre aux entreprises déjà existantes, il est nécessaire d’évaluer le potentiel de croissance sur la base d’éléments qui varient en fonction des entreprises, de leur activité, nature, ancienneté, ressources disponibles etc. L’approche comparative ou la méthode Venture Capital trouvent ici à s’appliquer, sous réserve de procéder à des projections réalistes.

En tenant compte de la cohérence du projet et de l’expérience de vos collaborateurs, MontCel Développement procède à une valorisation d’entreprise adaptée à votre situation propre et à même de séduire les investisseurs actifs sur votre segment de marché !

Une analyse méthodique

La cartographie des processus d’entreprise est une méthodologie qui permet de représenter graphiquement les différents processus et activités de l’entreprise. Elle offre une vision globale et structurée des flux d’informations, des interactions entre les différents services de votre entreprise et des étapes clés nécessaires pour atteindre les objectifs fixés. A travers une vision holistique de l’entreprise, la cartographie des processus élaborée par MontCel Développement fournit au dirigeant un outil de pilotage synonyme d’efficacité et d’innovation.

Optimiser le fonctionnement de l’entreprise

Une cartographie des processus d’entreprise peut être effectuée pour différentes raisons. Tout d’abord, un tel travail d’analyse facilite la compréhension des processus métier en identifiant les étapes, les rôles et les responsabilités de chaque acteur de l’entreprise. Cela permet notamment d’améliorer la communication interne et de favoriser la collaboration entre les équipes. En mettant en relief le fonctionnement de l’entreprise, le travail de cartographie fait office de préalable à toute action d’optimisation destinée à stimuler la création de valeur

Mettre en place les KPI de performance

La cartographie des processus est également utile pour identifier les points de contrôle et de mesure de la performance. Elle permet de définir des indicateurs clés de performance/pilotage (KPI) pour évaluer la qualité, le délai et la conformité des processus. Cela facilite le suivi et la gestion de la performance, ainsi que l’identification des axes d’amélioration que les DAF externes de MontCel Développement seront à même de vous proposer

Cartographie des processus et productivité

De plus, la cartographie des processus permet d’analyser et d’optimiser les flux de travail. En identifiant les éventuels goulots d’étranglement, dysfonctionnements, « non-valeurs » et activités non essentielles, la cartographie vous permet d’améliorer vos capacités opérationnelles, de réduire les coûts et augmenter la productivité de votre entreprise. L’identification des éventuelles défaillances s’inscrit en outre dans une démarche de gestion des risques qui vous permettra de sécuriser la trésorerie et le cash-flow de votre entreprise.

 

 

Identifiez les meilleurs partenaires pour votre activité

Le sourcing fournisseur est un processus stratégique qui permet à une entreprise d’identifier, évaluer et sélectionner des fournisseurs à même de répondre efficacement à ses besoins en approvisionnement. Le travail d’identification des partenaires potentiels – et le fait de les comparer entre eux sur la base de critères pertinents – doit permettre à votre entreprise d’obtenir le meilleur rapport entre qualité, prix et délais de production, ce qui in fine réduira vos coûts d’achat

Le sourcing fournisseur implique généralement plusieurs étapes :

  • définition des objectifs, critères et besoins propres à votre entreprise : qualité des produits, délais de livraison, les coûts, etc.

  • délimitation de la zone géographique de recherche en termes de pays, région, ville d’approvisionnement. Une étape incontournable dans la mesure où la logistique revêt une importance capitale en termes de délais, coûts d’achats et prix de revente

  • recherche des fournisseurs potentiels qui correspondent à ces critères. Cela peut se faire par le biais de recherches en ligne, de contacts professionnels, de salons spécialisés ou en faisant appel à un professionnel dont les réseaux et compétences favorisent l’identification des fournisseurs adaptés aux besoins de votre activité

  • prise de contact et mise en place des relations commerciales : en tenant compte des compétences techniques, de l’expérience, réputation sur le marché et stabilité financière des fournisseurs, votre entreprise pourra passer à la phase de contact et de mise en œuvre de la collaboration souhaitée. MontCel Développement a eu l’opportunité d’accompagner plusieurs PME dans le cadre d’une mise en concurrence des fournisseurs et des négociations menant à la signature de contrats avantageux.

Un sourcing efficace pour maîtriser les risques…. et les coûts !

L’objectif du travail de sourcing fournisseurs est de permettre à votre entreprise d’optimiser ses coûts, d’améliorer l’expérience-client, de réduire les risques et d’assurer un approvisionnement fiable et efficace. En choisissant les bons fournisseurs, une entreprise peut renforcer sa compétitivité sur le marché et développer des relations mutuellement bénéfiques avec ses partenaires commerciaux.

Le sourcing fournisseur favorise la gestion des risques en entreprise en diversifiant la base de fournisseurs et en évaluant leur stabilité potentielle. La surveillance de la performance des fournisseurs sélectionnés permet également d’améliorer la qualité des produits ou services proposés par votre entreprise tout en assurant une gestion en temps réel de la chaîne d’approvisionnement. La diversification des sources vous évitera le risque de dépendance à l’égard d’un fournisseur et de ses éventuelles exigences, tandis que l’évaluation de la stabilité financière – qui peut également passer par une enquête de solvabilité – vous garantira des fournisseurs solides et fiables.

Le sourcing fournisseur se traduit également par l’optimisation des coûts en entreprise de différentes manières. En recherchant et en évaluant différents fournisseurs, votre entreprise peut obtenir des offres plus compétitives et négocier des prix avantageux. La diversification des fournisseurs favorise la mise en concurrence des coûts et conditions offerts par différents acteurs du marché, ce qui vous conférera un puissant levier de négociation. De plus, en identifiant les fournisseurs qui proposent des produits ou services de qualité à des coûts plus avantageux, vous serez en mesure de réduire vos dépenses tout en maintenant des niveaux élevés de performance et de satisfaction client